En ce temps

où le dérèglement climatique

devient criant, démonstratif et catastrophique

dans certaines parties du monde.

Pouvons-nous penser

autrement le monde et son avenir ?

Jean-Marie Pelt

dans « Ecologie et spiritualité »

nous parle de méta-écologie

qui intègre la puissance spirituelle de l’être humain

seule capable d’assurer

la paix dans la nature et parmi les Hommes.

Car seule la dimension acquise par les sages

peut permettre ce passage qui est devant nous.

Nous ne devons pas réduire

aux seules dimensions matérielles, économiques

l’avenir de la planète.

Une nouvelle Ethique s’impose,

celle de l’écologie spiritualiste

la seule voie ouverte vers le futur.

L’être humain est porteur d’une responsabilité

qui s’inscrit dans le schéma de l’évolution.

Les gens,

après s’être enflammés

pour la défense de la planète

semblent s’être lassés.

Des intérêts privés,

grands forestiers, conglomérat des mines

certaines industries

se sentent protégés en haut lieu

n’épargnant plus la nature

et lui portant des coups dévastateurs.

Et pourtant l’écologie

est une responsabilité.

Nous sommes sur terre

pour prendre soin, pas pour saccager.

Les humains ne sont pas supérieurs à la nature.

Nous devons créer un Evangile de la terre

par lequel les humains

doivent réapprendre à vivre

en harmonie avec le monde naturel.